• Teki

    Celui qui me donne un coup quand je baisse ma garde

    Est le mystérieux adversaire, adversaire

    Ce qu'il attend

    C'est de donner le coup de grâce à mon cœur fragile

     

    Je n'ai pas mis mes écouteurs

    Et, tout à coup, j'entends un grognement, un grognement

    Ça ronge mes sens usés,

    J'ai l'impression que je vais mourir à tout moment

     

    J'abandonne, j'abandonne, je souffre

    Je suis gentille, alors pardonne-moi

    Je tremble quand il transperce mon cœur

    C'est mon grand et invisible

    Adversaire, adversaire

     

    Le lundi matin, matin mon estomac

    Mon adversaire est dans mon ventre

    Ce qu'il attend

    Est que je reste dans mon futon

     

    Soudainement, à trois heures du matin

    Et je ressens une inquiétude, une inquiétude

    Je veux bien perdre cette partie

    Alors, conforte-moi maintenant

    Wao !

     

    J'abandonne, j'abandonne nous sommes quittes

    J'ai été touchée par la gentillesse des personnes

    Cela dévore ma vie

    Que quelqu'un m'aide

     

    J'abandonne, j'abandonne, je souffre

    Je suis gentille, alors pardonne-moi

    Je tremble quand il transperce mon cœur

    Jusqu'à mon dernier souffle

    Même si je m'échappe, c'est inutile, c'est inutile

    C'est mon grand et invisible

    Adversaire, adversaire


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