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Par Omame le 16 Janvier 2018 à 20:55
Celui qui me donne un coup quand je baisse ma garde
Est le mystérieux adversaire, adversaire
Ce qu'il attend
C'est de donner le coup de grâce à mon cœur fragile
Je n'ai pas mis mes écouteurs
Et, tout à coup, j'entends un grognement, un grognement
Ça ronge mes sens usés,
J'ai l'impression que je vais mourir à tout moment
J'abandonne, j'abandonne, je souffre
Je suis gentille, alors pardonne-moi
Je tremble quand il transperce mon cœur
C'est mon grand et invisible
Adversaire, adversaire
Le lundi matin, matin mon estomac
Mon adversaire est dans mon ventre
Ce qu'il attend
Est que je reste dans mon futon
Soudainement, à trois heures du matin
Et je ressens une inquiétude, une inquiétude
Je veux bien perdre cette partie
Alors, conforte-moi maintenant
Wao !
J'abandonne, j'abandonne nous sommes quittes
J'ai été touchée par la gentillesse des personnes
Cela dévore ma vie
Que quelqu'un m'aide
J'abandonne, j'abandonne, je souffre
Je suis gentille, alors pardonne-moi
Je tremble quand il transperce mon cœur
Jusqu'à mon dernier souffle
Même si je m'échappe, c'est inutile, c'est inutile
C'est mon grand et invisible
Adversaire, adversaire
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